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Antigone | Toutes les figures de style
Figure de style |
Exemples |
La comparaison |
-On dirait des chiens qui lèchent
tout ce qu’ils trouvent -Créon, il est
sorti comme un fou. (Il=Hémon) -Et il se lève, tranquille, comme un
ouvrier au seuil de sa journée. -je suis noire et maigre. Ismène est
rose et dorée comme un fruit. |
La métaphore |
- Maintenant, tout est déjà rose, jaune,
vert. C’est devenu une carte postale. - Allons, ma vieille bonne pomme rouge. - Et il y aura les gardes…avec leur
regard de bœuf. - Et tu risques la mort maintenant que
j’ai refusé à ton frère ce passeport dérisoire, ce bredouillage en série sur
sa dépouille, cette pantomime dont tu aurais été la première à avoir honte et
mal si on l’avait jouée. - Tu as toute la vie devant toi….Tu as
ce trésor, toi, encore. - La vie, c’est un livre qu’on aime,
c’est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu’on tient bien dans sa main. - Allons vite, cuisinier, appelle tes
gardes ! - Nous allons tous porter cette plaie
au côté, pendant des siècles. - Ce dieu géant qui m’enlevait dans ses
bras et me sauvait des monstres et des ombres, c’était toi ? - Quelles pauvretés faudrait-il qu’elle
fasse, elle aussi, jour par jour, pour arracher avec ses dents son petit
lambeau de bonheur ? - etc |
La
personnification |
- Le jardin dormait encore - C’est beau un jardin qui ne pense pas
encore aux hommes. -J’ai glissé dans la campagne sans
qu’elle s’en aperçoive. - |
L’hyperbole |
-
Il est parti, touché à mort. |
La gradation |
- et votre agitation, votre bavardage, votre vide, sans
elle. - Nous sommes
de ceux qui lui sautent dessus quand ils le rencontrent, votre espoir, votre
cher espoir, votre sale espoir ! -Dites, à qui
devrait-elle mentir ? À qui sourire ? À qui se vendre ? |
La métonymie |
- Tout Thèbes sait ce qu’elle a fait. - Un vrai petit garçon pâle qui
crachera devant mes fusils. - Tu penses que toute la ville hurlante
contre toi…c’est assez, |
L’euphémisme |
- Antigone ne peut plus vivre. Antigone nous a déjà
quittés tous. |
L’anaphore |
-
Dites,
à qui devrait-elle mentir ? À qui sourire ? À qui se vendre ? -
Oublie-la,
Hémon ; oublie-la, mon petit. - Crois-tu que je pourrai vivre, moi,
sans elle ? |
L’antithèse |
- je suis noire et maigre. Ismène est rose et dorée comme
un fruit. - J’ai le mauvais rôle et tu as le bon. - c’est vous qui êtes laids, même les
plus beaux. - Tu as choisi la vie et moi la mort.
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Le parallélisme |
-
Ni pour les uns, ni pour ton
frère ? |
L’antiphrase |
- Ah ! C’est du joli ! C’est du propre ! |
La périphrase |
- Ô tombeau ! Ô lit nuptial ! Ô demeure
souterraine !
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