La boîte à Merveilles | Toutes les figures de style

les figures de style la boite à merveilles

La boîte à merveilles | Toutes les figures de style

Vous trouverez ci-dessous toutes les figures de style extraites du roman autobiographique; la boîte à merveilles de son auteur Ahmed Sefrioui. 

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Figure de style

Exemples

La comparaison

-    Une lampe à pétrole identique à celle de notre voisine

-   Le bruit de ses narines me rappela le son de la trompette de Ramadan

-   La campagne parée comme un bouquet sentait le miel

La métaphore

-   Ma mémoire était une cire fraîche.

-   Que t’arrive-t-il, chien galeux.

-   Tu es un cadavre et je n’aime pas toucher les charognes.

-   Elle refusa poliment, déclara que ce thé était déjà un véritable.
printemps.

-   Mais de ta bouche coulent souvent le venin de la médisance, les puanteurs de la calomnie, l'odeur de la mort et d'autres germes de destruction.

La personnification

-   Un pigeon disait des mots si jolis.

-   La bouilloire chantait.

-   Le soleil en robe d’or s’attardait à l’horizon.

-   Les petites flammes dansaient.

-   Les objets ne me reconnaissaient plus, ils m'opposaient un visage hostile.

-   Seuls, nos pas, le froufrou de nos vêtements, nos souffles pressés animaient cette ville morte.

L’hyperbole

-       Elle posait mille questions à ma mère.

-        Les femmes continuaient leurs éternels voyages.

-       Des siècles passèrent.

-       Les cris des enfants s’étaient transformés en torrent, en cataracte, en bruit de rafale.

-       Des torrents de larmes inondèrent le visage

-       Je vais, me dit-elle, te donner à manger, tu dois mourir de faim

La gradation

-       J’ai six ans, l’année prochaine j’en aurai sept et puis huit, neuf et dix.

-       Les cris des enfants s’étaient transformés en torrent, en cataracte, en bruit de rafale.

-       Mais de ta bouche coulent souvent le venin de la médisance, les puanteurs de la calomnie, l'odeur de la mort et d'autres germes de destruction.

 

L’énumération

-       Dans ma boite à merveilles il y avait des clous, des boules de verre, des anneaux
de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des encriers vides….

-        

La répétition

-       {…} pour attraper un moineau mais le moineau ne vient jamais. Il désire tant ce petit moineau !

-       Zineb jouait avec le chat, un chat maladif.

L’anaphore

-       A dix ans, on est presque un homme. A dix ans on parcourt tout seul le quartier.

-       Non ! Je ne voulais pas dormir, je ne voulais pas pleurer.

-       Je savais qu’une journée s’ajoutait à une autre, je savais que les jours faisaient des mois ….

L’antithèse

-       Pour y renaitre, il fallait d’abord mourir.

-       Ceux-ci en rient, ceux-là en pleurent.

-       Ma mère m’aspergea alternativement d’eau bouillante et d’eau glacée.

-       Une voisine poussa un cri de joie ou un gémissement de douleur.

-       Il a peu de clients, mais beaucoup d'amis.

L’oxymore

-       Des nuits blanches qu’elle avait passées à gémir.

-       Sans toi, le soleil deviendra froid.

L’antiphrase

-       Elles nous conseillèrent de monter sur la terrasse charmer les oreilles des voisins.

La périphrase

-       Autour de moi, rodaient les jnounes, les démons noirs invoqués par la sorcière.

-       L’aînée se contenta du personnage de la negafa, une de ces femmes expertes dans l’organisation de telles cérémonies.


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